Critique : Carnage
Une pièce de théâtre est toujours difficilement adaptable au cinéma car on fait souvent à ce genre de film le reproche de l’unité de lieu…
Une pièce de théâtre est toujours difficilement adaptable au cinéma car on fait souvent à ce genre de film le reproche de l’unité de lieu…
Alexander Payne avait réalisé l’émouvant Monsieur Schmidt qui avait donné à Jack Nicholson l’un de ses derniers grands rôles.
Jim Carrey avec des pingouins, ça ne se refuse pas. Bien sûr l’ensemble respire bon la comédie familiale plus pour les gosses que les adultes.
Enfin, après Assassin’s Creed 2 et Brotherhood, on va enfin avoir droit à des révélations dignes de ce nom. Du moins, je le croyais.
Hara-Kiri était à la base un roman mais il est surtout connu des cinéphiles du monde entier comme étant le chef d’œuvre de Masaki Kobayashi.
On conserve l’équipe gagnante de Shrek et on s’oriente vers un personnage secondaire mais pas n’importe lequel.
En regardant Une Soirée d’Enfer, difficile de ne pas penser à la série That 70’s Show. Les thèmes se ressemblent à s’y méprendre.
Si 30 minutes maximum déclare son amour au genre, contrairement à Zombieland, il n’arrive jamais vraiment à les égaliser.
En revenant sur un sujet aussi propice au débat : Coupable ou innocent ? Il devient difficile de choisir un point de vue.
Comment revenir après un échec ? Le retour derrière la caméra de Mathieu Kassovitz était attendu après son exil américain.