Critique : Fright Night
Fright Night n’est pas un bon film d’horreur, ni une bonne comédie. L’ensemble manque cruellement de pèche et de folie.
Fright Night n’est pas un bon film d’horreur, ni une bonne comédie. L’ensemble manque cruellement de pèche et de folie.
Posé sur un sujet en vogue et difficile sur les droits de l’homme/femme bafoués en Iran, Au revoir se plante.
En lisant l’histoire, j’ai été choqué par la trame qui ressemble beaucoup à celle du film The Dark Knight. On peut même parler d’adaptation.
Un excellent blu-ray 2D et un blu-ray 3D à l’intérêt plutôt mitigé étant donné la 3D mauvaise de Priest et son coût.
Quelle agréable surprise de tomber sur des comédies romantiques relevant le niveau de ses confrères. Le meilleur de Hollywood dans le genre.
L’Ange du Mal souffre de sa comparaison du précédent long-métrage de Michele Placido toutefois il reste un bon film de gangster.
Drive n’est pas un film d’action spectaculaire. Il se rapproche du polar à l’ancienne avec une belle histoire d’amour et réalisation.
Comédie musicale, policier noir, burlesque, répliques cultes, sens du rythme, acteurs formidables. Tout ça, c’est The Big Lebowski.
Humour, sentiment, musique, La mélodie du Bonheur englobe tout cela et s’affirme comme un des plus grands chefs d’œuvres du cinéma.
Je voulais boucler la saga Scott Pilgrim. Après le film et le comic, je m’étais alors dit que ce serait le moment d’essayer le jeu.
Je n’avais plus touché à la saga depuis le premier. N’ayant plus rien à faire, je l’ai emprunté pour l’essayer. J’ai été agréablement surpris.
Une curiosité, ne serait-ce que pour voir le premier film de Darren Aronofsky. En somme, un bijou d’épouvante.