Critique : Resident Evil : Retribution
Resident Evil: Retribution était flippant, surtout après le naufrage du précédent. Un naufrage plus impressionnant que celui du Titanic.
Resident Evil: Retribution était flippant, surtout après le naufrage du précédent. Un naufrage plus impressionnant que celui du Titanic.
Après un second épisode magistral, on pouvait commencer à se demander comment Telltale allait pouvoir garder le cap.
Difficile de refuser un tel voyage, pouvoir revenir dans cet univers où la tour sombre trône majestueusement au centre de tout est un luxe.
Après Martyrs, le frenchie Pascal Laugier confirme avec The Secret, un film de plus grande envergure avec Jessica Biel.
Une grosse purge annoncée avec un trio qui fait mal : figure historique dans histoire de vampire et réalisateur connu pour ses délires.
Difficile de ne pas être subjugué devant l’affiche de Guilty of romance mêlant deux genres : le roman porno et le thriller horrifique.
Par le réalisateur de Torque, la route s’enflamme, difficile de ne pas flipper à l’idée de lancer le blu-ray de Detention.
Même si je n’avais jamais entendu parler de Dylan Dog, son affiche présentant le Superman de Bryan Singer fait envie.
Dernier film de Kevin Smith, Red State revient sur un sujet en vogue, les fanatiques chrétiens au pays de l’oncle Sam.
Sorti en catimini au cinéma, After.Life est déjà sorti depuis 2009 outre-Atlantique, un état des faits surprenants.