Critique : Je s’appelle Groot – Saison 2
Une saison 2 dans la lignée de la première où Baby Groot aura réussi à me faire sourire et valant surtout pour son dernier épisode.
Le genre « fantastique » nous transporte dans des mondes imaginaires remplis de magie, de créatures étonnantes et d’aventures épiques.
Une saison 2 dans la lignée de la première où Baby Groot aura réussi à me faire sourire et valant surtout pour son dernier épisode.
Malgré la bonne idée d’exploiter un chapitre du roman Dracula zappé au ciné, Le Dernier Voyage du Demeter peine à se montrer convaincant.
Cowabunga ! Surfant sur la vague Spider-Man, les Tortues Ninja reviennent avec un long-métrage à la patte graphique marquante, car unique.
M’attendant à un Until Dawn du pauvre, j’ai été agréablement surpris par les quatre jeux composant la première saison du Dark Pictures.
Impossible de passer à côté du phénomène Barbie. Mais il faut tout de même avouer que je m’attendais à un meilleur film.
La rencontre improbable entre Game of Thrones et Devil May Cry tout en conservant les codes de la saga de la fantaisie finale.
Encore une fois, après Soul, Luca et Alerte rouge, Pixar livre une histoire touchante et drôle tout en livrant un sous-texte intéressant.
À l’image de son héros arrivant toujours en retard, The Flash semble déjà daté avec son histoire reposant sur le multivers sans originalité.
En voulant ajouter un « monde ouvert » (plus proche de la zone) dans sa panoplie, Star Wars Jedi : Survivor se tranche le pied au sabre-laser.
J’ai regardé la série car elle réunissait les têtes d’affiche de mon film préféré de l’année dernière Everything Everywhere All at Once.
Ce remake en prise de vues réelles est une réussite dans le sens où on retrouve le charme du dessin animé d’origine.
Renfield ne vaut que pour le kif de voir Nicolas Cage cabotiner en Dracula, le reste est incroyablement plat au vu du sujet.