Critique : Au revoir
Posé sur un sujet en vogue et difficile sur les droits de l’homme/femme bafoués en Iran, Au revoir se plante.
Le genre « drame » explore les émotions humaines et les conflits personnels, offrant des histoires riches en intensité émotionnelle et en quête de vérité.
Posé sur un sujet en vogue et difficile sur les droits de l’homme/femme bafoués en Iran, Au revoir se plante.
L’Ange du Mal souffre de sa comparaison du précédent long-métrage de Michele Placido toutefois il reste un bon film de gangster.
Drive n’est pas un film d’action spectaculaire. Il se rapproche du polar à l’ancienne avec une belle histoire d’amour et réalisation.
Humour, sentiment, musique, La mélodie du Bonheur englobe tout cela et s’affirme comme un des plus grands chefs d’œuvres du cinéma.
Une chronique sociale se déroulant dans les 70 mais encore d’actualité. Neds revient sur l’explosion de la violence chez les jeunes.
La série doit beaucoup au personnage de Nathan, parfait jeune loser. Ses répliques sont parmi les meilleures jamais sorties.
Un film jouant plus sur l’amour des fans de Star Wars que sur de réels qualités. Pas drôle, lent et très con.
La grande question de cette édition. Qu’en est-il de cette 3D sur un dessin animé ? Vaut-elle le coup ? Ou autant prendre la 2D ?
Plusieurs choses frappent en visionnant le long-métrage de Paolo Sorrentino comme la performance de Sean Penn et la beauté des plans.
Quand on regarde Triangle, difficile de ne pas penser à Cube car il use des mêmes procédés pour happer l’attention du spectateur.