Critique : Real Steel
Alors qu’on pouvait s’attendre à un blockbuster enfantin, irritant les adultes par tant de mièvrerie, Real Steel arrive à l’éviter.
Le genre « drame » explore les émotions humaines et les conflits personnels, offrant des histoires riches en intensité émotionnelle et en quête de vérité.
Alors qu’on pouvait s’attendre à un blockbuster enfantin, irritant les adultes par tant de mièvrerie, Real Steel arrive à l’éviter.
La Couleur des sentiments est un best-seller de Kathryn Stockett. Son adaptation au cinéma a donné une comédie dramatique mémorable.
On pouvait être dubitatif quant à l’idée de faire un long-métrage intégralement muet comme si le film était sorti dans les années 20.
Un deuxième volume toujours aussi réussi mais plombé par un défaut qui l’empêche d’être parfait : le dessin.
Wuxia était à l’origine un genre littéraire désignant des aventures de pratiquants d’arts martiaux dans l’ancienne Chine.
Comme quoi en piochant dans les films sortis aux States mais qui n’ont toujours pas traversé l’Atlantique, on tombe sur des bonnes surprises.
Pour commencer calmement les choses, un petit conseil d’ami : SURTOUT NE REGARDEZ PAS LA BANDE ANNONCE !!!!!!
Passé uniquement au festival de Deauville en France, Get Low méritait pourtant mieux qu’une sortie par la case vidéo.
Une comédie dramatique plutôt inégale avec une première partie très réussie et une deuxième en retrait. Encore une belle histoire vraie.
Le film se regarde une deuxième fois sans perdre sa force, mieux, je l’ai même davantage apprécié. Il file une banane monstrueuse.