Critique : American Horror Story : Coven
Les sorcières soignent leur retour au premier plan avec une sorte de Harry Potter version American Horror Story.
Le genre « drame » explore les émotions humaines et les conflits personnels, offrant des histoires riches en intensité émotionnelle et en quête de vérité.
Les sorcières soignent leur retour au premier plan avec une sorte de Harry Potter version American Horror Story.
Propulsé après deux chefs d’œuvres, David O. Russell revient avec une surprise de taille : la réunion du casting de ses deux précédents films.
C’est avec une tendresse particulière que j’ai regardé All About Albert, car il s’agit du dernier film de James Gandolfini.
Nominé aux Oscars dans six catégories et lauréat de deux Golden Globes, Dallas Buyers Club débarque avec l’assurance d’un cador.
Sherlock nous avait laissés sur une image forte, un des cliffhangers les plus mémorables de l’univers des séries, mais des tweets ont jailli.
Série surprise avec un concept détonnant : des pouvoirs entre les mains de délinquants, Misfits aborde sa dernière saison.
Dans son titre, le film de Srdan Golubović y trouve son essence. Peu clair au départ, il est expliqué lors d’un dialogue.
On ne présente plus le danois Tobias Lindholm, scénariste sur la série Borgen et le poignant La Chasse, réalisateur d’Hijacking… et R.
Tout respirait le chef d’œuvre dans Les Brasiers de la colère : son affiche, sa bande-annonce, son casting, et même le réalisateur.
À chaque année, ma pitance de Stephen King et en 2013, deux fois. Après l’excellent 22/11/63, place à la suite de Shining: Docteur Sleep.