Critique : Miss Pérégrine et les enfants particuliers
Avec Miss Pérégrine et les Enfants Particuliers (ça, c’est du titre à rallonge), le réalisateur aux cheveux jamais coiffés revient au top.
Le genre « drame » explore les émotions humaines et les conflits personnels, offrant des histoires riches en intensité émotionnelle et en quête de vérité.
Avec Miss Pérégrine et les Enfants Particuliers (ça, c’est du titre à rallonge), le réalisateur aux cheveux jamais coiffés revient au top.
Il était le super-héros qui avait fait son effet dans Jessica Jones. Lui, c’est Luke Cage, et voici la critique de sa première saison.
Si je suis allé voir Comancheria, c’est pour ses critiques, mais après coup, je me suis baffé. Après tout, j’ai failli le manquer ?
Quand le réalisateur de Very Bad Trip décide avec War Dogs de s’offrir son Scarface en se basant sur un fait divers cool, ça peut être fun.
C’est marrant. Même en suivant l’actualité assidûment, on tombe parfois sur des surprises dont on n’avait jamais entendu parler.
Malgré un gros côté cheap, la première saison de Powers m’avait bien plu, c’est donc avec enthousiasme que j’ai visionné la suite.
Avec le pilote de Preacher, je n’arrivais pas à retrouver le ton et le genre du comic qu’elle adaptait. Qu’en est-il de la saison complète ?
Par où commencer pour parler de Game of Thrones ? Tout a déjà été à peu près dit. Entrons donc dans le vif du sujet.
Faire une série télé Preacher est une bonne idée, mais pas un projet facile étant donné les thèmes abordés, la vulgarité et la violence.
Après The Walking Dead, Robert Kirkman décide de partir en solo pour faire sa série télé en adaptant un de ses comics : Outcast.