Critique : Américain de Chine – Saison 1
J’ai regardé la série car elle réunissait les têtes d’affiche de mon film préféré de l’année dernière Everything Everywhere All at Once.
J’ai regardé la série car elle réunissait les têtes d’affiche de mon film préféré de l’année dernière Everything Everywhere All at Once.
Ce remake en prise de vues réelles est une réussite dans le sens où on retrouve le charme du dessin animé d’origine.
J’ai commencé FUBAR parce qu’Arnold Schwarzenegger (pas besoin d’en dire plus) dont c’est la première série télévisée en tête d’affiche.
Ça me semblait difficile de faire pire que le 9. Heureusement, le X n’y arrive pas. Mais ce n’est pas beaucoup mieux non plus.
Derrière son apparence old-school se cache un bijou de gameplay où je n’ai pas vu passer les 60 heures de l’aventure principale.
C’est désormais fini pour Midnight Suns avec son ultime DLC consacré à Tornade doté de la même formule mais avec une surprise finale.
Dans cette critique, je me lâche totalement et reviens sur les moments forts du film Les Gardiens de la Galaxie Volume 3.
Malgré une proposition alléchante bousculant les clichés, Ghosted peine très vite à être autre chose qu’une simple romcom d’action.
James Gunn sort par la grande porte. Ma meilleure expérience avec un Marvel Studios depuis Avengers : Endgame.
Moins magistrale que la deuxième, cette troisième saison des aventures de Din Djarin recèle tout de même pas mal de surprises.
Après trois films à oublier, le jeu Donjons & Dragons connaît les joies d’une nouvelle adaptation et cette fois-ci, c’est la bonne.
Adam Driver. 93 minutes au compteur. De la Sci-Fi. Des dinos. Qu’est-ce qui pourrait mal se passer ? Et bien, comment dire ?