Critique : Final Fantasy XVI
La rencontre improbable entre Game of Thrones et Devil May Cry tout en conservant les codes de la saga de la fantaisie finale.
La rencontre improbable entre Game of Thrones et Devil May Cry tout en conservant les codes de la saga de la fantaisie finale.
Encore une fois, après Soul, Luca et Alerte rouge, Pixar livre une histoire touchante et drôle tout en livrant un sous-texte intéressant.
L’épisode le plus court, mais aussi celui où l’action est le plus présent. Paradoxalement, ce n’est pas l’action que j’ai préférée.
On arrive à la moitié de la saison et les enjeux augmentent d’un cran avec de nouvelles surprises. Bref, toujours aussi efficace.
Même si de meilleure facture que Le Royaume du crâne de cristal, Le Cadran de la Destinée n’arrive pas non plus à se montrer à la hauteur.
Aurions-nous droit avec Secret Invasion à l’Andor du MCU ? Il ne faudra pas attendre plusieurs épisodes, car celui-ci commence à confirmer.
Avec ce premier épisode, Secret Invasion se lance doucement mais sûrement sur un mood Le Soldat de l’Hiver où le sérieux prédomine.
À l’image de son héros arrivant toujours en retard, The Flash semble déjà daté avec son histoire reposant sur le multivers sans originalité.
En voulant ajouter un « monde ouvert » (plus proche de la zone) dans sa panoplie, Star Wars Jedi : Survivor se tranche le pied au sabre-laser.
J’ai regardé la série car elle réunissait les têtes d’affiche de mon film préféré de l’année dernière Everything Everywhere All at Once.
Ce remake en prise de vues réelles est une réussite dans le sens où on retrouve le charme du dessin animé d’origine.
J’ai commencé FUBAR parce qu’Arnold Schwarzenegger (pas besoin d’en dire plus) dont c’est la première série télévisée en tête d’affiche.