Critique : Blanche-Neige et le chasseur
Après la Blanche Neige de Disney, de Tarsem Singh, voici venir la plus sombre. Une relecture adulte du mythe de la plus belle d’entre tous.
Le genre « action » est rempli d’explosions, de cascades audacieuses et de combats intenses, offrant une dose d’adrénaline et de divertissement pur.
Après la Blanche Neige de Disney, de Tarsem Singh, voici venir la plus sombre. Une relecture adulte du mythe de la plus belle d’entre tous.
Le grand retour de Max Payne était attendu depuis des années. Comment oublier les deux aventures teintées de polar noir ?
The Raid est présenté comme pas moins le meilleur film d’action de la décennie par le service marketing. Rien que ça ?!
La déception de Prometheus se situe au niveau qu’il nous était vendu comme étant le 2001, l’Odyssée de l’espace nouvelle génération.
Quand on joue à Diablo 3, le monde se met sur pause et ça, c’est la marque des très grand jeux. Le premier Hack’n Slash à me captiver.
Avec la bande annonce, j’avais la désagréable sensation comme un sixième sens de l’Araignée que le nouveau Men In Black y montrait tout.
Une impression marrante sur le disque où on peut voir une fausse pizza inspirée de la très bonne pub du film.
Sniper Elite V2 vaut surtout pour son exercice de sniper, hormis ça, malheureusement, il n’y a pas grand chose à signaler.
À ranger parmi les mauvais Soderbergh. Tu enlèves le casting, il n’y a plus rien à voir dans ce sous Jason Bourne du pauvre.
Un spin-off de Resident Evil avec les méchants comme héros. Pas mal l’idée, sauf que, bien sûr, c’est inexploité niveau scénario.