Critique : Boss Level
Reposant sur le principe de la boucle temporelle, Joe Carnahan balance un gros film d’action bourré d’humour et d’ingéniosité.
Le genre « action » est rempli d’explosions, de cascades audacieuses et de combats intenses, offrant une dose d’adrénaline et de divertissement pur.
Reposant sur le principe de la boucle temporelle, Joe Carnahan balance un gros film d’action bourré d’humour et d’ingéniosité.
Je m’inquiétais du fait que je n’avais joué à aucun des épisodes précédents de la trilogie. Au final, ce n’est pas si grave.
Pas un grand western, néanmoins une histoire sympathique, même si respirant le déjà-vu, menée par un joli duo Tom Hanks / Helena Zengel.
J’étais tellement persuadé que c’était une daube que je m’étais préparé à écourter la séance au plus vite. Impossible. Je me suis fait pécho.
Je m’attendais à une petite aventure spatiale sympathique. J’ai eu plus que ça avec carrément un énorme coup de cœur.
La saga Assassin’s Creed n’est devenue que l’ombre d’elle-même. Un monde ouvert avec des centaines de trucs à faire, mais rien d’intéressant.
L’ensemble est si ridicule et surjoué que ça a fait mouche chez moi. Typiquement, le genre de films que j’aurais regardé en boucle à huit ans.
Zone hostile est excitant. Les scènes d’action sont bien emballées sur un sujet intéressant. Puis tout part en couilles. Totalement.
En toute franchise, je m’attendais à un truc moyen. C’est agréablement surpris que j’ai découvert une série superbement rythmé.
Aucun bug n’aura réussi à entacher l’amour que j’ai pour lui. Cyberpunk 2077 est un de mes jeux préférés de tous les temps.