Critique : Prey
Aucune surprise dans le déroulé de Prey car calqué sur le classique de McTiernan mais ça ne l’empêche pas d’offrir de bonnes scènes d’action.
Le genre « action » est rempli d’explosions, de cascades audacieuses et de combats intenses, offrant une dose d’adrénaline et de divertissement pur.
Aucune surprise dans le déroulé de Prey car calqué sur le classique de McTiernan mais ça ne l’empêche pas d’offrir de bonnes scènes d’action.
Première production de PlayStation Productions, Uncharted demeure un divertissement sympathique malgré des effets numériques trop visibles.
Adorant le premier Top Gun, je n’avais pas envie de voir Maverick pour ne pas briser le mythe. J’ai failli faire une grosse boulette.
Chris Pratt : « Préparez-vous pour ce qui sera sans aucun doute le plus grand et le meilleur film de la franchise. ». J’attends encore.
Avec El Arbi & Fallah de retour derrière la caméra, je m’attendais à plus de punch. Malgré tout, l’épisode final fait le job.
Avec Love and Thunder, Waititi est allé encore plus loin que sur Ragnarok. Cela donne un film moins maîtrisé, mais bourré de bonnes idées.
Inquiétude. C’est ce qui prédomine chez moi après avoir bouclé cette saison 3. Pas concernant les personnages, mais sur la qualité.
Épisode étonnant s’attardant sur une partie inattendue dans sa première moitié. La suite prépare le déluge de l’épisode final.
Avec Thor : Love and Thunder, Taika Waititi réapplique la formule de Ragnarok. Première victime, l’effet de surprise.
La bande-annonce m’envoyait du rêve. À l’arrivée, je suis mitigé. Si la partie action est efficace, le reste est raté.