Critique : Donjons & Dragons : L’Honneur des voleurs
Après trois films à oublier, le jeu Donjons & Dragons connaît les joies d’une nouvelle adaptation et cette fois-ci, c’est la bonne.
Le genre « action » est rempli d’explosions, de cascades audacieuses et de combats intenses, offrant une dose d’adrénaline et de divertissement pur.
Après trois films à oublier, le jeu Donjons & Dragons connaît les joies d’une nouvelle adaptation et cette fois-ci, c’est la bonne.
Adam Driver. 93 minutes au compteur. De la Sci-Fi. Des dinos. Qu’est-ce qui pourrait mal se passer ? Et bien, comment dire ?
Sans inspiration, Shazam! La rage des dieux se contente de balancer un récit super-héroïque sans jamais vraiment réussir nulle part.
Pour définir John Wick : Chapitre 4, je vais emprunter les mots du Baron Zemo : « C’est un chef d’œuvre, James. Total. Immense. ». *mic drop*
La déception prédomine sur le DLC consacré au vampire vivant Morbius avec une histoire et un gameplay sans inspiration.
On l’a. La meilleure adaptation existante d’un jeu vidéo. Avec The Last of Us, la malédiction est enfin brisée et de quelle manière !
Un monde ouvert façon The Witcher dans l’univers de Harry Potter. C’est le pari réussi d’Avalanche Software.
Aucune surprise si on a déjà joué au DLC de Deadpool, on nous propose exactement la même chose pour le Lethal Protector, Venom.
Attention, vous êtes ici dans le Royaume Spoiler. Donc si vous n’avez pas encore vu Ant-Man et la Guêpe : Quantumania, ne vous arrêtez pas.
Un divertissement sympathique, mais oubliable. Le moins bon de la trilogie pour moi, malgré Kang le Conquérant.