Critique : Equalizer 3
Un 3ème opus quittant l’Amérique pour l’Europe sans changer sa formule. Ça reste addictif, car les méchants sont des sacrés enfoirés.
Un 3ème opus quittant l’Amérique pour l’Europe sans changer sa formule. Ça reste addictif, car les méchants sont des sacrés enfoirés.
J’ai failli m’énerver au début du film à voir Denzel en chauffeur Lyft. J’avais l’impression de retourner au boulot…
Jack Reacher, ex-major, mène l’enquête. C’est le Sherlock Holmes de la Marine. Il a pour mission de sauver sa collègue.
Après le polar très rythmé de Christopher McQuarrie, Jack Reacher revient sous la houlette d’Edward Zwick qui retrouve Tom Cruise.
Après un remake culotté d’Evil Dead, le réalisateur Fede Alvarez revient avec son équipe pour un film basé sur un pitch simple, mais efficace.
Avec l’édition 2016 de Les Sept Mercenaires, Antoine Fuqua s’entoure d’un casting pour le moins excitant, car hétéroclite.
Avec Equalizer, Sony démarre une franchise autour de Denzel. Mais avant de parler franchise, il faudrait déjà un premier épisode réussi.
Après un bon 1er épisode même s’il n’atteignait pas le niveau du long-métrage précédent de Stallone, j’attendais beaucoup de cette suite.