Critique : Transformers : Rise of the Beasts
Un Transformers faisant le job. Rien de dingue, avec même un gros creux au milieu, mais une bonne grosse bataille finale comme j’aime.
Un Transformers faisant le job. Rien de dingue, avec même un gros creux au milieu, mais une bonne grosse bataille finale comme j’aime.
Malgré un début prometteur et une Rosamund Pike façon Gone Girl comique, plus on avance dans I Care a Lot, plus ça devient n’importe quoi.
Cette année, trois sagas épiques prendront fin. On avait eu Avengers: Endgame et en attendant Star Wars, c’est Game of Thrones qui s’achève.
Je vais faire une petite pause avec Avengers: Endgame pour m’attaquer à l’autre évènement de la pop culture. Je préviens, ça va être du sale.
Pour signer mon grand retour au cinéma en 2018, j’ai voulu miser sur une valeur sûre. Quoi de mieux que le nouveau Martin McDonagh ?
La saison de la maturité pour Game of Thrones. Il est fini le temps de jouer avec les chaises, la Grande Guerre a désormais commencé.
Par où commencer pour parler de Game of Thrones ? Tout a déjà été à peu près dit. Entrons donc dans le vif du sujet.
L’avantage avec ce genre de films, c’est qu’on n’en attend pas beaucoup. Dès lors, ils sont en position de force pour devenir une surprise.
Game of Thrones est culte. Les années passent, les audiences grandissent et les morts s’accumulent. Cette saison n’échappe à la règle.
X-Men : Days of Future Past est une petite déception, car il n’arrive pas à offrir une aventure aussi épique qu’on pouvait imaginer.
La saison 3 est terminée. C’est reparti pour un an d’attente. Un an à gamberger. Mais bon, ce n’est pas tout, j’ai une critique à boucler.
The North Remembers. On n’a pas oublié la décapitation de la Main du Roi sur l’ordre de Joffrey, ni le climax de folie avec les dragons.
Si vous le pouvez, privilégiez largement le blu-ray au DVD car Game of Thrones est une série spectaculaire, une véritable série blockbuster.
Ils sont rares les séries qui, tels des chiens enragés, parviennent à vous saisir à la gorge pour ne plus vous lâcher jusqu’à la fin.