Critique : 12 Years A Slave
Encensé, 12 Years A Slave débarque avec fracas dans nos salles. La cacophonie était-elle méritée ? Portrait du nouveau Steve McQueen.
Encensé, 12 Years A Slave débarque avec fracas dans nos salles. La cacophonie était-elle méritée ? Portrait du nouveau Steve McQueen.
Après Oliver Stone et ses Savages, Ridley Scott s’attaque aussi, thématiquement parlant, au Cartel. Sur un scénario de Cormac McCarthy.
Visuellement, c’est magnifique. « Sonoriquement », c’est splendide (VO indispensable). « Bonusiquement », c’est chargé.
Avec le film du jour, Jane Eyre, le roman de Charlotte Brontë connaît sa vingtième adaptation cinématographique/télévisuelle.
La déception de Prometheus se situe au niveau qu’il nous était vendu comme étant le 2001, l’Odyssée de l’espace nouvelle génération.
À ranger parmi les mauvais Soderbergh. Tu enlèves le casting, il n’y a plus rien à voir dans ce sous Jason Bourne du pauvre.
Après l’excellent A History of Violence et un autre moindre mais réussi, Les promesses de l’ombre, Cronenberg se tourne vers la psychanalyse.
Shame est une œuvre peu commune dans l’univers cinématographique. Il dispose d’un incroyable richesse à tous les niveaux.
Mathew Vaughn ne voulait pas être le gars qui a réalisé le pire épisode de la saga des X-Men. Il a fini par réaliser le meilleur.