Critique : Oppenheimer
Depuis Inception, je n’arrive plus à accrocher au cinéma de Nolan. Malheureusement, ce ne sera toujours pas le cas avec Oppenheimer.
Depuis Inception, je n’arrive plus à accrocher au cinéma de Nolan. Malheureusement, ce ne sera toujours pas le cas avec Oppenheimer.
Je n’aurais jamais cru écrire ça, mais avec Stranger Things 4, je crois que j’ai atteint la saison où je commence à décrocher.
Alors, on prend sa jambe de bois, son cache œil et sa carte au trésor. Aujourd’hui, L’Île aux pirates. Un échec mémorable.
C’est marrant. Même en suivant l’actualité assidûment, on tombe parfois sur des surprises dont on n’avait jamais entendu parler.
Encore un film sur la dépression financière! Pfff on en a soupé. Après tout, on avait bien eu le droit à Inside Job et Margin Call.
The Dark Knight Rises devait être la conclusion épique de ce que l’on appelle désormais la trilogie Nolan.
La meilleure comédie romantique pour moi au même niveau que Chasing Amy et Quatre Mariages et un Enterrement.