Critique : Transformers : Le Commencement
Transformers : Le Commencement est le meilleur film de la franchise depuis Transformers 3. Un défouloir avec des airs de La Revanche des Sith.
Transformers : Le Commencement est le meilleur film de la franchise depuis Transformers 3. Un défouloir avec des airs de La Revanche des Sith.
Quel curieux film, ce Blue & Compagnie ! Pendant les deux tiers, je me suis ennuyé, mais le miracle arrive dans le dernier tiers.
Wonka est un magnifique conte aussi drôle qu’émouvant n’oubliant d’émerveiller dans la lignée des deux Paddington.
Super Mario Bros, le film permet d’oublier l’affront du film live de 1993 en proposant une aventure fidèle aux jeux vidéo.
Je n’attendais rien du tout de Tic et Tac, les Rangers du Risque : le film. À l’arrivée, ce fut une excellente surprise.
Grâce à Dolemite Is My Name, Eddie Murphy signe un joli come-back au premier plan avec une histoire vraie et fun concernant Rudy Ray Moore.
Après un début poussif, la série Dark Crystal finit par prendre ses aises et déploie une intrigue captivante dans un univers riche.
Loin d’être au niveau de l’original, The Predator a tout de même la bonne idée d’éviter de vouloir le remaker comme les autres suites.
Je ne l’attendais pas de sitôt. Après tout, la 1ère bande-annonce n’est sortie qu’il y a un mois, mais The Predator en a une nouvelle.
Après une 1ère tentative infructueuse de faire revivre le rasta de l’espace avec Predators, on remet ça avec Shane « Iron Man 3 » Black.