Nick la critique : Pirates des Caraïbes: La vengeance de Salazar
Disney a dû faire appel à l’équipe d’alerte à Honolulu pour réanimer une franchise. On le sent que la réanimation a été dure.
Disney a dû faire appel à l’équipe d’alerte à Honolulu pour réanimer une franchise. On le sent que la réanimation a été dure.
Universal planche sur la création d’un univers partagé autour de ses monstres les plus célèbres : le Dark Universe.
Avec cinq Les Animaux Fantastiques annoncés, il y a une certaine pression autour de ce spin-off d’Harry Potter. Alors réussite ou ratage ?
Je pensais avoir tout vu. Mais là, c’est l’histoire d’un mec qu’on transforme en morse. Et il n’y a pas de magie, juste de la couture.
Les comédies musicales ne sont pas mon trip, mais j’étais intrigué, car je voulais voir le résultat de la fusion de plusieurs univers Disney.
Johnny Depp dans un film de S.F., je ne peux qu’être curieux du résultat, car l’acteur est étranger à cet univers.
Lone Ranger semblait bien parti pour n’être qu’un spin-off du pauvre de Pirates des Caraïbes dans l’Ouest Sauvage. La claque a été forte.
Adapté de la série 21 Jump Street, le 2ème long-métrage des réal’ de Tempête de boulettes géantes surfe sur le phénomène de réadaptation.
Tim Burton livre un film soap opera sympathique dont vous aurez pratiquement tout oublié le lendemain du visionnage.
Autant vous le dire tout de suite, on est loin d’avoir un des meilleurs Sandler. Réflexion faite, il s’agirait même d’un de ses plus mauvais.