Critique : Blue & Compagnie
Quel curieux film, ce Blue & Compagnie ! Pendant les deux tiers, je me suis ennuyé, mais le miracle arrive dans le dernier tiers.
Quel curieux film, ce Blue & Compagnie ! Pendant les deux tiers, je me suis ennuyé, mais le miracle arrive dans le dernier tiers.
Ryan Gosling et Emily Blunt brillent dans cette double love story. L’une pour les stars et l’autre pour les cascadeurs.
Depuis Inception, je n’arrive plus à accrocher au cinéma de Nolan. Malheureusement, ce ne sera toujours pas le cas avec Oppenheimer.
Basé sur une histoire vraie, Marchands de douleur se contente de réciter une histoire classique déjà vue des milliers de fois.
Malgré un bon départ, je me suis vite emmerdé devant l’adaptation de l’attraction Disney, Jungle Cruise. La faute aux défauts trop lourds.
John Krasinski confirme qu’il est un réalisateur à suivre en pondant, avec Sans un bruit 2, une suite du même acabit que le premier.
L’ennemi juré de Dwight Schrute (John Krasinski) rempile à la réalisation et au scénario pour signer la suite de son premier film.
On pourrait vendre Sans un bruit comme une copie de Tremors avec du son au lieu des vibrations. Seulement, le film est bien plus que ça.
Même si ses films ne m’ont pas pleinement convaincu, j’ai bien du mal à ne pas être emballé par l’idée de voir un nouveau Denis Villeneuve.
Les comédies musicales ne sont pas mon trip, mais j’étais intrigué, car je voulais voir le résultat de la fusion de plusieurs univers Disney.