Critique : Enola Holmes 2
Une suite dans la lignée du premier opus. Donc si t’as aimé, tu vas aimer. Si t’as kiffé, tu vas kiffer. Si t’as détesté, tu vas détester.
Une suite dans la lignée du premier opus. Donc si t’as aimé, tu vas aimer. Si t’as kiffé, tu vas kiffer. Si t’as détesté, tu vas détester.
La première saison de Sandman est inégale à mes yeux. Parfois capable du sublime, elle souffre de défauts rageants.
La narration et la photographie maîtrisées à la perfection m’ont emmené pour un voyage dont je me souviendrais longtemps.
Wonder Woman fait rêver en apparence. Mais malheureusement, il n’est pas assez convaincant pour conclure que c’est un bon film.
Comme d’habitude, je serais avec franc avec toi, lecteur. Je vais donc devoir nager à contre-courant avec ma critique de Wonder Woman.
La nouvelle bande-annonce de Wonder Woman axée sur ses origines a été aussi montrée durant les Kids’ Choice Awards, les Oscars des mômes.
Wonder Woman revient avec une seconde bande-annonce. Qui dit deuxième bande-annonce, dit effets spéciaux plus avancés.
Avant Assassin’s Creed, Justin Kurzel, Michael Fassbender et Marion Cotillard adaptent une pièce de théâtre de Shakespeare.
La nouvelle merveille de Spielberg nous promet-on, on ne demande qu’à croire mais déçu par ses précédents films, je ne suis pas rassuré.
Comment ne pas être complètement emballé par un tel pitch qui nous demande de considérer William Shakespeare comme un vulgaire imposteur ?