Critique : Le Passager nº4
J’ai lancé le film en m’attendant à un ersatz d’Alien, le huitième passager. Pas du tout. Au contraire, le sujet est très sérieux.
J’ai lancé le film en m’attendant à un ersatz d’Alien, le huitième passager. Pas du tout. Au contraire, le sujet est très sérieux.
Je m’attendais à m’endormir comme devant Les chroniques de Noël 2. Finalement, je me suis surpris à rire et à lâcher une petite larme.
Après m’avoir collé sur mon siège et fait frissonner comme jamais avec son Warrior, le prochain Gavin O’Connor m’intéressait.
Après avoir cartonné dans Pitch Perfect, les Bellas reprennent du service en se faisant une suite à la Rocky tout en restant aussi tendre qu’un Pitch.
Contrairement à ce qu’on pourrait croire, The Voices n’est pas l’adaptation en long-métrage de la publicité du Crédit Mutuel avec le chien qui parle.
Les comédies musicales ne sont pas mon trip, mais j’étais intrigué, car je voulais voir le résultat de la fusion de plusieurs univers Disney.
Quand Jason Moore, le réalisateur d’un paquet d’épisodes de séries pour filles, décide de passer au cinéma avec son premier long-métrage, on n’est pas forcément rassuré.
Porté par un réalisateur et deux acteurs au sommet, End of Watch est une curiosité en plus d’être un film très puissant.
Voici venir le frère de Coraline. La même boîte de production, Laika Entertainment, est derrière donc on peut considérer qu’ils ont la même maman.
Culte ! Époustouflant ! Magique ! Drôle ! Tous ces superlatifs définissent parfaitement le film et je pourrais en trouver d’autres.