Critique : Sandman – Saison 1
La première saison de Sandman est inégale à mes yeux. Parfois capable du sublime, elle souffre de défauts rageants.
La première saison de Sandman est inégale à mes yeux. Parfois capable du sublime, elle souffre de défauts rageants.
Pour des retrouvailles avec Robert Downey Jr., on ne peut pas dire que ce soit glorieux. Le voyage du Dr Dolittle est sans inspiration.
Les noms Neil Gaiman, David Tennant et Michael Sheen m’ont attiré sur la mini-série Amazon, Good Omens, et j’ai craqué devant le pitch.
Ça fait un moment que je l’avais à l’œil, ce film. Une occasion immanquable de voir Gareth « The Raid » Evans se mettre à l’horreur.
Quand Peter Quill rencontre Mystique dans un vaisseau de Headstone : Avalon, il se passe des choses bien étranges comme… l’ennui.
Tom Ford m’avait ébloui avec son beau et émouvant A Single Man. Huit ans après, il offre son deuxième film, Nocturnal Animals.
Dans Passengers, Mystique rejoint Star-Lord dans l’espace pour un voyage interstellaire qui, évidemment, tourne mal. La faute à Ash ?
Secret d’état repose sur des faits réels fascinants pour raconter l’histoire d’un journaliste qui a osé dire la vérité. Attention, ça fait froid au dos.
Tina Fey est une grande actrice comique américaine, elle s’est démarquée grâce au SNL et sa sitcom 30 Rock. Fan, j’ai donc maté Admission.
Avec un Woody Allen, on sait toujours à quoi s’attendre : une comédie dramatique touchant nos mœurs. Ce qu’on sait moins, c’est s’il s’agit d’une de ses œuvres majeures…
Tom Hooper, ce n’est pas que Le Discours d’un Roi. Il a avait auparavant signé ce petit bijou. On reconnaît aisément son style simpliste laissant libre cours à l’écrasante force des décors.
Alors Que Justice soit Faite est sorti sur nos contrées en salle, il est hallucinant qualitativement parlant que No Limit n’ait bénéficié que d’une sortie direct-to-video.