Critique : Fast & Furious X
Ça me semblait difficile de faire pire que le 9. Heureusement, le X n’y arrive pas. Mais ce n’est pas beaucoup mieux non plus.
Ça me semblait difficile de faire pire que le 9. Heureusement, le X n’y arrive pas. Mais ce n’est pas beaucoup mieux non plus.
Inquiétude. C’est ce qui prédomine chez moi après avoir bouclé cette saison 3. Pas concernant les personnages, mais sur la qualité.
Difficile de résumer une critique tenant sur quatre pages dans Word. Du coup, je dirais juste : lisez la critique.
J’avais de l’espoir pour The Old Guard, mais devant la fin, j’ai prononcé les mots de Petit Gibus. Si j’aurais su, j’aurais pas v(en)u.
Dans ce film d’action Netflix, Charlize Theron mène un groupe d’immortels dont le but semble de tout faire péter. Tant mieux.
Fast & Furious 8 vire au sentimental sombre. On parle de Brian, mais on arrive à avancer en son absence et Vin en méchant, c’est touchant
Tout change dans cette bande-annonce de plus de trois minutes. C’est fou quand même, ça. Déjà plus de trois minutes.
Le truc qui me fait marrer avec Kubo, c’était que j’étais persuadé que c’était un film japonais. Il n’en reste pas moins qu’il est bon.
Je suis toujours à la recherche d’Epice qui s’est fait emporter durant la course de Mad Max, mais, au moins, j’ai récupéré sa critique.
Après une longue attente (longue, surtout depuis la bande-annonce), Mad Max : Fury Road débarque enfin. Est-il le chef d’œuvre promis ?
Après avoir fait un carton avec Ted, l’homme à l’humour polémique, Seth MacFarlane, revient, mais cette fois-ci dans le Far West.
Visuellement, c’est magnifique. « Sonoriquement », c’est splendide (VO indispensable). « Bonusiquement », c’est chargé.
Après la Blanche Neige de Disney, de Tarsem Singh, voici venir la plus sombre. Une relecture adulte du mythe de la plus belle d’entre tous.
La déception de Prometheus se situe au niveau qu’il nous était vendu comme étant le 2001, l’Odyssée de l’espace nouvelle génération.