Critique : Parks and Recreation – Saison 1 à 4
Série qu’on pourrait qualifier de spin-off de The Office vu leurs points communs. D’ailleurs, elle était prévue pour l’être à l’origine.
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Série qu’on pourrait qualifier de spin-off de The Office vu leurs points communs. D’ailleurs, elle était prévue pour l’être à l’origine.
Sitcom ayant connue un grand succès critique, Arrested Development, les nouveaux pauvres n’a pas survécu face à ses audiences décevantes.
The North Remembers. On n’a pas oublié la décapitation de la Main du Roi sur l’ordre de Joffrey, ni le climax de folie avec les dragons.
On avait fini la saison dernière en paumant Peter comme des vulgaires clés. On a beau demander à l’équipe, personne ne s’en souvient…
Si Friends doit à Seinfeld, Happy Endings s’inspire de Friends à tel point que l’intituler Friends 2.0 ne serait pas une insulte.
La première saison avait fait l’objet d’une curiosité surtout que c’était à la base un comic populaire. Qu’en est-il de sa suite ?
Assurément la grosse surprise au niveau des séries. Découvert seulement cette année après déjà deux saisons et demie sorties aux States.
Mad Men est une série assez atypique car elle s’oriente sur les années Nixon/Kennedy. En prenant place dans une agence publicitaire.
Une série atypique dans ce cercle fermé des sitcoms en effet ses personnages principaux sont des… losers. En plus d’être cruels, bêtes,…
Après une première saison moyenne plombé par un Kenny Powers trop lourd pour qu’on puisse s’y attacher, la série prend son envol.