Critique : Reacher – Saison 3
Une nouvelle saison dans la lignée des précédentes, mais l’ajout d’un méchant façon James Bond old school fait toute la différence.
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Une nouvelle saison dans la lignée des précédentes, mais l’ajout d’un méchant façon James Bond old school fait toute la différence.
Deux épisodes différents : le premier est un sympathique stand-alone façon Annual tandis que le second fait monter la pression.
Severance est assurément l’une des meilleures séries actuelles. Cette deuxième saison confirme que la première n’était pas un heureux hasard.
Un gros épisode avec, étonnamment, deux séquences très amusantes. Mais pas gratuitement : il s’agit d’illustrer une montée en pression.
Un nouveau jeu pour Prime, surfant sur la vague de LOL. Le résultat est sympathique, malgré un montage et une narration parfois agaçants.
À part quelques blagues et un combat final réussi, difficile de se laisser marquer par cette longue aventure dans un royaume désertique.
L’épisode du jour livre un procès passionnant grâce aux thèmes qu’il soulève, tout en maintenant une bonne tension malgré sa prévisibilité.
La nouvelle série de Michael Schur (Parks and Recreation, The Good Place et Brooklyn Nine-Nine) est du même acabit que ses prédécesseurs.
Le diable est de retour. Ça commence avec quinze folles premières minutes et la suite installe plusieurs intrigues diablement excitantes.
Il n’y a pas grand-chose à dire, si ce n’est : masterclass. Le terme peut paraître galvaudé, mais il est ici parfaitement justifié.