Critique : Matrix Resurrections
À Hollywood, très souvent, il vaut mieux laisser le passé là où il est et, malheureusement, Matrix Resurrections n’échappe pas à la règle.
À Hollywood, très souvent, il vaut mieux laisser le passé là où il est et, malheureusement, Matrix Resurrections n’échappe pas à la règle.
Alors, on prend son âme d’enfant, un plaid et on enfile des chaussettes. Aujourd’hui, c’est Le Noël de Mickey.
Avec sa conclusion, la série Hawkeye confirme tout le bien que j’en pensais. Pour tout dire, c’est même ma série Marvel Studios préférée.
Ceux qui sont restés jusqu’au bout de leur séance de Spider-Man : No Way Home ont déjà pu l’admirer en guise de scène post-générique.
Je pensais que le MCU avait atteint son paroxysme avec Endgame, que c’était le retour à une vie fade, mais en fait non.
Cet épisode prend le soin de faire la liaison avec le film Black Widow tout en introduisant un événement de taille.
Même si de nombreuses suprises ont été dévoilées, Spider-Man : No Way Home reste une conclusion de trilogie exceptionnelle.
Le meilleur de la trilogie Home. Point. Pour le reste, allez le voir. À noter deux scènes post-génériques.
OSS 117 : Alerte rouge en Afrique noire prouve que le Michel Hazanavicius était pour beaucoup dans la réussite de la franchise.
Encanto, la fantastique famille Madrigal est une nouvelle réussite made in Disney cochant toutes les bonnes cases.