Critique : Marvel’s Midnight Suns : Faim dévorante

Hop, en pleine partie d’Octopath Traveler II (en passant, ce jeu est une merveille), ma play m’apprend que le DLC consacré à Morbius pour Midnight Suns est sorti. Bon, on va faire une pause sur Octopath (à regret, je ne vous cache pas) pour le torcher.

Bon, il n’y a pas grand-chose à dire concernant ce DLC après ceux consacrés à Deadpool et Venom. C’est exactement la même formule qui est proposée. Du coup, je vais me contenter de vous dire ce que j’ai pensé de Morbius.

Plus proche des comics que Jared Leto

Sans surprise, on est sur un look très fidèle aux comics (avec la possibilité de prendre le costume des origines) à l’exception d’un point : le nez. Question d’habitude. J’ai toujours vu Morbius avec un nez écrasé. Mais bon, ça reste un détail mineur. N’empêche que j’ai un peu louché dessus.

Pour le reste, on retrouve l’histoire classique du vampire vivant tout en poursuivant l’intrigue consacrée aux vampires mises en place avec Deadpool. Par contre, les déceptions se sont un peu accumulées. Déjà, l’histoire est faite un peu à la va-vite avec des cinématiques peu inspirées et des répliques classiques. Mais là où j’ai eu plus de mal, c’est avec l’absence de nouveaux ennemis ou même d’un boss inédit.

Concernant le gameplay de Morbius, encore une fois, j’ai l’impression qu’ils l’ont un peu torché tant rien ne sort du lot. Des coups basiques. Un gameplay proche de celui de Blade à base de saignements. Serait-ce une conséquence de la déception autour des ventes du jeu malgré le succès critique au point de limiter les ressources allouées sur les DLC ? Quoiqu’il en soit, il n’en reste plus qu’un. Celui de Tornade et j’espère vraiment qu’ils vont finir en fanfare.