Critique : Deadpool Corps – Le club des cinq

Un Deadpool, deux Deadpool, trois Deadpool, quatre Deadpool, cinq Deadpool, j’arrive !

Marvel

Écrit par Victor Gischler (fait ses premiers pas dans les comics avec Deadpool Corps)

Dessiné par Kyle Baker (Deadpool Max), Philip Bond (Kill Your Boyfriend), Rob Liefield (X-Force, Youngblood et Supreme), Paco Medina (New X-Men) et Whilce Portacio (Uncanny X-Men)

Pour lecteurs avertis
Prix : 12 euros
Collection : 100% Marvel
Date de sortie : 18 mai 2011

Le sort de l’univers est entre les mains de Deadpool! A qui demandera-t-il de l’aide ? Mais à des doubles de lui-même originaires d’univers alternatifs, bien sûr ! Découvrez la bande de cinglés appelée à former le Deadpool Corps : Lady Deadpool, le garnement Kidpool, le chien Dogpool et Têtepool, la tête de zombie.

L’album est décomposé en quatre histoires, une pour chaque enrôlement de membre du Deadpool Corps, on se régale à les lire surtout que le ton loufoque et comique est amplement respecté (on est bien dans une histoire estampillée Deadpool). Chacune des histoires est dessinée par un dessinateur différent ce qui explique la profusion.

Ma préférée est sans hésiter celle de Kidpool où on se retrouve dans une sorte d’académie X-Men rajeunie avec un Cyclope et un Wolverine âgés de 10 ans. Voir le look des X-Men Babies est jouissif (on regrette que l’aventure se termine)!

La seconde est l’origine de Dogpool, version parodique et animalier de celle de Deadpool. Dogpool a été créé non pas pour devenir le chien ultime mais pour tester un mascara qui ne s’effacerait jamais.

Après les origines, on finit l’album avec la première mission du Deadpool Corps qui doit prouver qu’ils sont capables d’accomplir la tâche qu’on leur a confié (sauver l’univers, ce n’est rien pour le mercenaire à la grande gueule). On se régale de voir une équipe aussi loufoque, déjà qu’un Deapool, c’est énorme mais alors cinq !

Un prélude qui promet beaucoup pour la suite.

Note : 6/10

PS : désormais, le blog de Marvelll va s’attacher à fournir plus souvent des critiques d’album. Ces critiques ne seront pas longues et donneront surtout un bref avis quant à la qualité de l’album pour éviter ceux parfois très mauvais (et vu le prix à l’unité des albums, ça la fout parfois mal).

PS2 : En lisant la saga, on regrette aussi que la série Deadpool: A merc with a mouth (trad : Deadpool: Un mercenaire avec une bouche) n’est pas été publié en France vu le grand nombre de référence loufoque.

PS3 : à noter la présence de Têtepool provenant de Marvel Zombies dont la critiques des deux premiers albums va bientôt arriver.

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