Critique : Minuit à Paris
Quel plaisir de voir un Woody Allen majeur, encore plus quand celui-ci se déroule dans notre capitale, Paris.
Parce que chez Le blog de Marvelll, on est des fous de cinéma, on a donc besoin d’en parler encore et encore. Cette catégorie résume toutes les divagations de ses rédacteurs dans le genre.
Quel plaisir de voir un Woody Allen majeur, encore plus quand celui-ci se déroule dans notre capitale, Paris.
Après un catastrophique Légion que je n’ai même pas osé voir tellement tout le monde s’est accordé pour dire que c’est une sombre bouse…
Xavier Beauvois signe un grand film sur des hommes qui ont préféré l’amour. Je comprends mieux la pluie de récompenses.
Il est rare les films qui nous tiennent en haleine du DEBUT jusqu’à la FIN. Blood Island ne mérite pas son titre français ultra racoleur.
Afin de trouver une solution permanente pour le stockage des déchets radioactifs, le projet Onkalo a été créé en Finlande.
Dès le départ, L’Aigle de la neuvième légion nous propose des beaux combats, mais on commence déjà à décerner les défauts du film.
Le film bénéficie d’une très belle photo et repose sur un sujet assez original au cinéma (les films parlant du milieu du cirque sont rares).
Le premier bénéficiait d’un Vin Diesel au sommet de sa forme, le deuxième était moyen en effet sans Vin, c’était un peu faire Rambo sans Sly.
On sort de la séance déçu par Enter the Void surtout qu’on sentait que Gaspar Noé avait effleuré le chef d’œuvre.
Alors qu’on était habitué à voir Vince Vaugn et Kevin James dans des comédies calibrés pour faire rire, Le Dilemme s’en écarte.