Critique : It Comes at Night
It Comes at Night a débarqué dans les salles françaises précédé d’une jolie réputation. Donc j’y suis allé sans faire attention.
Toutes les critiques des films sortis durant l’année 2017.
It Comes at Night a débarqué dans les salles françaises précédé d’une jolie réputation. Donc j’y suis allé sans faire attention.
Mickael Bay fait un retour plutôt raz-de-marée en VFX, et un scénario mal cousu qui n’empêche pas d’apprécier les Transformers.
La momie aurait dû rester dans son sarcophage. On ne se serait pas emmerdé à aller se le taper ce film qui ne raconte rien.
Après avoir fait un bond dans Hunger Games, Amandla Stenberg revient dans une maison et un paradis donnant envie.
Les mauvaises critiques n’ont pas entamé ma motivation d’aller voir cette Momie. Faut dire que c’est aussi la naissance du Dark Universe.
Wonder Woman fait rêver en apparence. Mais malheureusement, il n’est pas assez convaincant pour conclure que c’est un bon film.
Comme d’habitude, je serais avec franc avec toi, lecteur. Je vais donc devoir nager à contre-courant avec ma critique de Wonder Woman.
Disney a dû faire appel à l’équipe d’alerte à Honolulu pour réanimer une franchise. On le sent que la réanimation a été dure.
Message from the King aurait pu être un succès s’ils étaient allés plus loin dans l’exploitation des personnages.
Get Out est un genre de Get the fuck Out que j’ai kiffé. Un film d’horreur qui glace le sang au point de pousser à la réflexion profonde.