Critique : Marchands de douleur
Basé sur une histoire vraie, Marchands de douleur se contente de réciter une histoire classique déjà vue des milliers de fois.
Service de vidéo à la demande créé en 1997 par Reed Hastings et Marc Randolph.
Basé sur une histoire vraie, Marchands de douleur se contente de réciter une histoire classique déjà vue des milliers de fois.
Malgré l’excellence de la réalisation et du premier chapitre, difficile de me passionner pour les aventures du tueur ringardisées par Hitman.
Julien Royal et Nassim Lyes récidivent et prouvent que non, En passant pécho n’était pas juste un gros coup de bol.
Le monologue d’un vieil homme se retournant vers son passé où on peut voir son amour pour le cinéma et une enfance difficile.
Avec Old Dads, l’humoriste Bill Burr passe à la réalisation pour la première fois et signe une comédie assez classique mais drôle.
Une première saison sympathique avec un casting génial et du cœur. Par contre, au niveau des combats, c’est clairement à revoir.
Ils ont cloné Tyrone vaut le détour pour son ambiance mélangeant les décennies sans être dépareillée, son trio d’acteurs et son mystère.
Project X-Traction est assez curieux avec une première partie sérieuse mais ennuyante et une deuxième partie façon buddy movie donc fun.
Lee Sung Jin déploie une comédie dramatique à l’humour grinçant porté par une excellente réalisation et ses deux stars.
Après la décevante cinquième saison, ça fait du bien de boire une bonne cuvée de Black Mirror. J’ai même eu trois épisodes forts.