Critique : Happy Gilmore 2
Une comédie made in Sandler, bien meilleure que les précédentes qu’il a livrées pour Netflix. Du pur Sandman digne de sa belle époque.
Une comédie made in Sandler, bien meilleure que les précédentes qu’il a livrées pour Netflix. Du pur Sandman digne de sa belle époque.
Une mini-série qui ressemble beaucoup (trop) à What If… ?, avec même un caméo en clin d’œil, pour le meilleur et surtout pour le pire.
Une quatrième saison exceptionnelle pour The Bear, un véritable tsunami émotionnel porté par des personnages toujours aussi attachants.
Créée par les Weitz Bros derrière American Pie, Murderbot : Journal d’un AssaSynth est une série atypique et originale.
Encore une saison géniale dans le club de Wrexham avec cette incroyable troisième montée consécutive. Bref, le kif demeure.
Heads of State est un buddy movie porté par une réalisation inspirée, livrant des scènes d’action fun, et un duo sorti de Belle Reve.
Une deuxième partie qui ne fait qu’empirer. Bref, Ironheart a réussi l’exploit d’être la première œuvre du MCU que je n’aime pas.
Une troisième saison avec des jeux efficaces et une maîtrise du rythme et de la tension donnant envie d’enchaîner tous les épisodes.
Difficile de s’emballer pour ces trois premiers épisodes d’Ironheart où Dominique Thorne peine à offrir une performance marquante.
Une saison moins marquante que la précédente, en raison de nombreux épisodes peu convaincants, voire invraisemblables.