Critique : Play Dirty
Avec Play Dirty, Shane Black signe un retour en demi-teinte : ça démarre fort, mais ça se perd vite dans une surenchère absurde.
Avec Play Dirty, Shane Black signe un retour en demi-teinte : ça démarre fort, mais ça se perd vite dans une surenchère absurde.
Cette saison 2 de Comedy Class corrige pas mal des défauts de la première : un montage plus fluide, un niveau supérieur et un roast hilarant.
Dommage pourles fans venus chercher le Xénomorphe, la créature se fait trop discrète, et l’ambiance penche plus du côté de Blade Runner
Marvel Zombies, c’est un festin. Pas parfait, mais sacrément goûtu. Et je suis déjà prêt à en reprendre une part.
Non seulement Charlie Sheen est un narrateur génial, mais en plus, il ose se confronter frontalement à ses démons.
Franchement, j’avais vraiment envie d’aimer McWalter. Mais au final, je suis resté un peu sur ma faim. Dommage car il y a beaucoup d’idées.
Highest 2 Lowest n’est pas un grand Spike Lee, mais ça reste un Spike Lee, et Denzel assure le minimum syndical, mais son aura suffit encore.
Le Murder Club du jeudi est un whodunit efficace et drôle, portée par un charmant casting où Helen Mirren brille un peu trop.
Ça a l’air complètement fou, fun et surtout bien gore (le point faible de l’épisode de What If…?). Sans oublier les excellentes surprises.
La série Sandman se termine sans éclat, avec une intrigue trop molle malgré un bon début, mais je retiendrai quand même Délire.