Critique : Nobody Wants This – Saison 2
La saison 2 de Nobody Wants This réussit à parler de l’amour après le grand geste romantique, et rien que pour ça, elle mérite le visionnage.
La saison 2 de Nobody Wants This réussit à parler de l’amour après le grand geste romantique, et rien que pour ça, elle mérite le visionnage.
Malgré des ratés, Guillermo del Toro livre une œuvre sublime et profondément humaine. Probablement, la meilleure adaptation de Frankenstein.
Cette saison 2 de Gen V confirme ce que je pensais de la première : la série n’avait pas assez de souffle pour tenir sur la durée.
Depuis un prank, on se retrouve avec une série drôle et touchante où Glen Powell se la joue Madame Doubtfire version football américain.
Si on veut vraiment comprendre le bonhomme et sa carrière titanesque, c’est clairement LE documentaire à voir.
A House of Dynamite reprend la structure de Rashomon pour mettre en scène un cauchemar moderne à travers un thriller tendu et captivant.
Ian Brennan signe une saison propre sur elle, joliment mise en scène, mais qui n’ose jamais plonger dans la folie de son sujet.
John Candy : I Like Me est un documentaire tendre et drôle. Il réussit à capter tout ce qui faisait de Candy un acteur à part.
The Lost Bus est un film solide qui joue habilement sur la tension et l’émotion, porté par un duo Matthew McConaughey / America Ferrera.
Dernier vestige de l’ancienne stratégie de Marvel Studios pour Disney+, Wonder Man balance sa curieuse première bande-annonce