Critique : Crazy, Stupid, Love.
Quelle agréable surprise de tomber sur des comédies romantiques relevant le niveau de ses confrères. Le meilleur de Hollywood dans le genre.
L’univers est si vaste, surtout au cinéma, où désormais, on peut compter sur trois univers majeurs avec le Marvel Cinematic Universe, le DC Extended Universe sans oublier les Marvel de la Fox. Sur cette page, on ne fait pas de distinctions entre les univers.
Quelle agréable surprise de tomber sur des comédies romantiques relevant le niveau de ses confrères. Le meilleur de Hollywood dans le genre.
L’Ange du Mal souffre de sa comparaison du précédent long-métrage de Michele Placido toutefois il reste un bon film de gangster.
Drive n’est pas un film d’action spectaculaire. Il se rapproche du polar à l’ancienne avec une belle histoire d’amour et réalisation.
Comédie musicale, policier noir, burlesque, répliques cultes, sens du rythme, acteurs formidables. Tout ça, c’est The Big Lebowski.
Humour, sentiment, musique, La mélodie du Bonheur englobe tout cela et s’affirme comme un des plus grands chefs d’œuvres du cinéma.
Je voulais boucler la saga Scott Pilgrim. Après le film et le comic, je m’étais alors dit que ce serait le moment d’essayer le jeu.
Je n’avais plus touché à la saga depuis le premier. N’ayant plus rien à faire, je l’ai emprunté pour l’essayer. J’ai été agréablement surpris.
Une curiosité, ne serait-ce que pour voir le premier film de Darren Aronofsky. En somme, un bijou d’épouvante.
Un film schizo : une partie comédie complètement foirée mais une partie dérision d’heroic-fantasy réussie. Du coup, pas évident.
Une chronique sociale se déroulant dans les 70 mais encore d’actualité. Neds revient sur l’explosion de la violence chez les jeunes.