Critique : Les Marches du Pouvoir
Les marches du pouvoir est bien réalisé, bien joué et servi par une bonne musique mais souffre d’un scénario convenu.
L’univers est si vaste, surtout au cinéma, où désormais, on peut compter sur trois univers majeurs avec le Marvel Cinematic Universe, le DC Extended Universe sans oublier les Marvel de la Fox. Sur cette page, on ne fait pas de distinctions entre les univers.
Les marches du pouvoir est bien réalisé, bien joué et servi par une bonne musique mais souffre d’un scénario convenu.
Alors qu’on pouvait s’attendre à un blockbuster enfantin, irritant les adultes par tant de mièvrerie, Real Steel arrive à l’éviter.
Théâtre de l’absurde au service d’une bande son époustouflante. The Blues Brothers doit être vu au moins une fois dans sa vie.
Ce qui aurait pu être un bon petit film de cape et d’épée se retrouve parasité par l’ancêtre d’Alice de Resident Evil.
Premier film que j’ai vu du réalisateur devenu depuis un des plus grands hommes du cinéma. Retour sur son goût pour la comédie horrifique.
La Couleur des sentiments est un best-seller de Kathryn Stockett. Son adaptation au cinéma a donné une comédie dramatique mémorable.
N’arrivant jamais à égaler son modèle La Route, Stake Land prône au côté de Le Livre d’Eli parmi les tentatives de western post-apo.
Un remake accumulant tout ce qu’il ne faut pas faire dans un remake mais un bon début (passé une demi-heure, vous pouvez partir).
On pouvait être dubitatif quant à l’idée de faire un long-métrage intégralement muet comme si le film était sorti dans les années 20.
Un deuxième volume toujours aussi réussi mais plombé par un défaut qui l’empêche d’être parfait : le dessin.