Critique : Reacher – Saison 3
Une nouvelle saison dans la lignée des précédentes, mais l’ajout d’un méchant façon James Bond old school fait toute la différence.
Suspense, mystère et tension s’entremêlent dans le genre « thriller », nous captivant avec des intrigues palpitantes et des twists haletants.
Une nouvelle saison dans la lignée des précédentes, mais l’ajout d’un méchant façon James Bond old school fait toute la différence.
Deux épisodes différents : le premier est un sympathique stand-alone façon Annual tandis que le second fait monter la pression.
Severance est assurément l’une des meilleures séries actuelles. Cette deuxième saison confirme que la première n’était pas un heureux hasard.
Un gros épisode avec, étonnamment, deux séquences très amusantes. Mais pas gratuitement : il s’agit d’illustrer une montée en pression.
L’épisode du jour livre un procès passionnant grâce aux thèmes qu’il soulève, tout en maintenant une bonne tension malgré sa prévisibilité.
Le diable est de retour. Ça commence avec quinze folles premières minutes et la suite installe plusieurs intrigues diablement excitantes.
Dans la lignée de Barbare (2022), Companion est un thriller à humour noir reposant sur ses nombreux rebondissements.
En soi, Kraven the Hunter est un film d’action tenant la route, même si trop classique. Par contre, la personnalité du héros, c’est non !
Une deuxième saison réussissant à maintenir l’efficacité de la première en proposant de nouvelles idées permettant d’éviter le déjà-vu.
Une dernière extension, fort efficace, pour refermer le livre Alan Wake 2 avec une histoire inédite autour de la maison du lac.