Critique : Le Flic de Beverly Hills : Axel F.
Vu Un prince à New York 2, j’étais inquiet pour ce Flic de Beverly Hills 4. Si ce n’est pas aussi mauvais, ce n’est pas mémorable non plus.
Suspense, mystère et tension s’entremêlent dans le genre « thriller », nous captivant avec des intrigues palpitantes et des twists haletants.
Vu Un prince à New York 2, j’étais inquiet pour ce Flic de Beverly Hills 4. Si ce n’est pas aussi mauvais, ce n’est pas mémorable non plus.
Ce préquel (raaaah, encore un !) n’apporte rien à la franchise, et son drame intimiste encourage l’endormissement.
Un Bad Boys dans la lignée du précédent. Quoi d’étonnant vu que toute l’équipe revient, que ce soit devant ou derrière la caméra.
L’extension Zone X pour Alan Wake 2 est un régal avec trois épisodes à la manière de La Quatrième dimension et totalement différents.
Sous la Seine vaut surtout pour l’excellent sens du timing de sa sortie. Autrement, il n’y a pas grand-chose à sauver de ce nanar.
Atlas donne l’impression de regarder un film d’action SF un peu nanardesque des années 90 comme Judge Dredd ou Universal Soldier.
De l’horreur fun et décomplexée avec un casting sympathique porté par une géniale Alisha Weir dans le rôle d’Abigail.
Je l’attendais avec impatience, ce Furiosa : Une saga Mad Max. Et la déception a été malheureusement proportionnelle à l’attente.
Civil War est l’Apocalypse Now des temps modernes avec un pitch enthousiasmant, à savoir imaginer une guerre de Sécession de nos jours.
Sur papier, le John Wick de Bombay me faisait saliver. Malheureusement, le Monkey Man n’est pas à la hauteur du Baba Yaga.