Critique : Blue Beetle
Blue Beetle est une origin story classique respirant le déjà-vu en permanence, mais ayant le mérite d’être efficace contrairement à d’autres.
Le genre « science-fiction » transporte les spectateurs vers des mondes futuristes, explorant les avancées technologiques et les questions philosophiques.
Blue Beetle est une origin story classique respirant le déjà-vu en permanence, mais ayant le mérite d’être efficace contrairement à d’autres.
Une saison 2 dans la lignée de la première où Baby Groot aura réussi à me faire sourire et valant surtout pour son dernier épisode.
Cowabunga ! Surfant sur la vague Spider-Man, les Tortues Ninja reviennent avec un long-métrage à la patte graphique marquante, car unique.
À mes yeux, En eaux très troubles est une suite meilleure que son prédécesseur grâce à encore plus de WTF.
Ils ont cloné Tyrone vaut le détour pour son ambiance mélangeant les décennies sans être dépareillée, son trio d’acteurs et son mystère.
Secret Invasion s’achève. La série consacrée à Nick Fury lance pas mal de pistes pour les films du MCU à venir.
On prépare le dernier épisode avec de la bonne gunfight et surtout des apparitions délicieuses de la MVP Sonya Falsworth.
Un Transformers faisant le job. Rien de dingue, avec même un gros creux au milieu, mais une bonne grosse bataille finale comme j’aime.
Encore une fois, après Soul, Luca et Alerte rouge, Pixar livre une histoire touchante et drôle tout en livrant un sous-texte intéressant.
L’épisode le plus court, mais aussi celui où l’action est le plus présent. Paradoxalement, ce n’est pas l’action que j’ai préférée.
On arrive à la moitié de la saison et les enjeux augmentent d’un cran avec de nouvelles surprises. Bref, toujours aussi efficace.
Après la décevante cinquième saison, ça fait du bien de boire une bonne cuvée de Black Mirror. J’ai même eu trois épisodes forts.
Aurions-nous droit avec Secret Invasion à l’Andor du MCU ? Il ne faudra pas attendre plusieurs épisodes, car celui-ci commence à confirmer.
Avec ce premier épisode, Secret Invasion se lance doucement mais sûrement sur un mood Le Soldat de l’Hiver où le sérieux prédomine.