Critique : Dispatch
Je m’attendais à un petit jeu narratif sympa et je me retrouve avec un titre qui m’a accroché du premier au dernier épisode
Le genre « policier » plonge les spectateurs dans des enquêtes captivantes, des mystères à résoudre et des intrigues remplies de suspense.
Je m’attendais à un petit jeu narratif sympa et je me retrouve avec un titre qui m’a accroché du premier au dernier épisode
Ian Brennan signe une saison propre sur elle, joliment mise en scène, mais qui n’ose jamais plonger dans la folie de son sujet.
Cette saison 2 de Peacemaker m’a clairement moins convaincu que la première. Elle reste rythmée, mais souffre d’un manque de fond.
Avec Play Dirty, Shane Black signe un retour en demi-teinte : ça démarre fort, mais ça se perd vite dans une surenchère absurde.
Une bataille après l’autre s’avère être un film soigné, porté par des performances solides, mais qui peine à s’affirmer pleinement.
Highest 2 Lowest n’est pas un grand Spike Lee, mais ça reste un Spike Lee, et Denzel assure le minimum syndical, mais son aura suffit encore.
Le Murder Club du jeudi est un whodunit efficace et drôle, portée par un charmant casting où Helen Mirren brille un peu trop.
Une suite exemplaire. Nobody 2 reprend les ingrédients qui ont fait le succès du premier opus pour les transposer dans un cadre atypique.
Le miracle. Je croyais ce genre de comédie définitivement perdu, mais Seth MacFarlane et son équipe ont réussi à invoquer l’esprit des ZAZ.
Si son intrigue demeure classique, Deep Cover développe son idée originale pour offrir des moments sincèrement drôles.