Critique : Le Robot sauvage
Un bijou d’animation qui sort de nulle part avec un succès au box-office au rendez-vous, au point de lancer la mise en chantier d’une suite.
Un bijou d’animation qui sort de nulle part avec un succès au box-office au rendez-vous, au point de lancer la mise en chantier d’une suite.
L’épisode le plus long de la saison (50 minutes !) et celui des révélations. Un véritable régal entre drame et humour. J’ai adoré.
Un biopic sur Donald Trump. Est-ce utile ? Je ne le pensais pas, jusqu’à The Apprentice qui livre un portrait grinçant sur l’ancien POTUS.
Une romcom efficace réussissant à transcender son amusant pitch de départ : « une agnostique et un rabbin tombent amoureux ».
S’il faut subir une mise en place un peu lente, quand les pièces du puzzle se mettent en place, la tension monte tout comme les émotions.
Une suite qui fait son beurre en jouant la carte de la nostalgie et des séquences inspirées. Dommage que l’histoire soit trop morcelée.
Cette semaine, pour Agatha All Along, un épisode plus court que d’habitude mais filant à toute allure avec pas mal de surprises.
Cette nouvelle adaptation de Stephen King peine à convaincre la faute à un montage trop coupé où le rythme est préféré à la substance.
La série documentaire ne dresse pas seulement le portrait de Vince McMahon, elle raconte aussi l’histoire de sa création. Passionnant.
Une deuxième saison moins impressionnante à mon goût, car l’aspect aventure laisse place à un jeu d’échecs autour de l’Eregion.