Critique : Assassin’s Creed : Revelations
Enfin, après Assassin’s Creed 2 et Brotherhood, on va enfin avoir droit à des révélations dignes de ce nom. Du moins, je le croyais.
Enfin, après Assassin’s Creed 2 et Brotherhood, on va enfin avoir droit à des révélations dignes de ce nom. Du moins, je le croyais.
Hara-Kiri était à la base un roman mais il est surtout connu des cinéphiles du monde entier comme étant le chef d’œuvre de Masaki Kobayashi.
On conserve l’équipe gagnante de Shrek et on s’oriente vers un personnage secondaire mais pas n’importe lequel.
En regardant Une Soirée d’Enfer, difficile de ne pas penser à la série That 70’s Show. Les thèmes se ressemblent à s’y méprendre.
Si 30 minutes maximum déclare son amour au genre, contrairement à Zombieland, il n’arrive jamais vraiment à les égaliser.
En revenant sur un sujet aussi propice au débat : Coupable ou innocent ? Il devient difficile de choisir un point de vue.
Comment revenir après un échec ? Le retour derrière la caméra de Mathieu Kassovitz était attendu après son exil américain.
Tout commence par un folklore revisité. Et si le Père Noël n’était pas celui qu’on imaginait ? Découvrez le vrai dans ce film de Noël.
Le gros plaisir du film concerne le retour du légendaire comique prodigue d’Hollywood, le nommé Eddie Murphy.
Jean-Jacques is back ! Et avec lui, il nous amène un film d’aventure comme on n’en fait que trop rarement ces derniers temps.