Critique : Prey
Aucune surprise dans le déroulé de Prey car calqué sur le classique de McTiernan mais ça ne l’empêche pas d’offrir de bonnes scènes d’action.
Aucune surprise dans le déroulé de Prey car calqué sur le classique de McTiernan mais ça ne l’empêche pas d’offrir de bonnes scènes d’action.
Je n’aurais jamais cru écrire ça, mais avec Stranger Things 4, je crois que j’ai atteint la saison où je commence à décrocher.
Après avoir quitté la suite de Doctor Strange, Scott Derrickson est revenu à son premier amour, l’horreur, avec Black Phone.
Loin du niveau des jeux de Quantic Dream, le film interactif de Supermassive Games a tout de même des grosses qualités.
Après m’avoir légèrement déçu sur sa saison 2, j’ai trouvé que Love, Death + Robots a repris du poil de la bête et livré sa meilleure saison.
Cette suite, faussement déguisée en remake, se contente de recycler la formule tout en poussant le côté méta plus loin.
L’épisode classique où il s’agit, comme dirait un beau gosse aux yeux bleus, de castagner. À ce niveau, le job est fait.
Difficile de résumer une critique tenant sur quatre pages dans Word. Du coup, je dirais juste : lisez la critique.
On peut le dire. Ce nouveau Marvel Studios a vraiment la touche du réalisateur Sam Raimi. Celui de l’époque d’Evil Dead.
Mon épisode préféré de Moon Knight jusqu’ici, car le plus surprenant. L’équivalent du Précédemment dans… de WandaVision.