Critique : Godzilla Minus One
Si l’histoire autour de Godzilla Minus One est belle, force est de constater que le résultat à l’écran souffre de défauts rédhibitoires.
Si l’histoire autour de Godzilla Minus One est belle, force est de constater que le résultat à l’écran souffre de défauts rédhibitoires.
Un survival horror regorgeant d’excellentes idées au service d’une histoire dingue et d’une direction artistique de très haute volée
Un excellent jeu dans la lignée du premier et son spin-off en mode « plus haut, plus loin, plus vite ». J’ai tout de même quelques réserves.
Werewolf by Night en couleurs permettra aux allergiques du noir et blanc de découvrir ce petit bijou explorant le monde horrifique de Marvel.
Comme avec Barbare l’année dernière, Disney+ nous offre une péloche horrifique d’une grande efficacité et regorgeant de belles surprises.
Malgré la bonne idée d’exploiter un chapitre du roman Dracula zappé au ciné, Le Dernier Voyage du Demeter peine à se montrer convaincant.
À mes yeux, En eaux très troubles est une suite meilleure que son prédécesseur grâce à encore plus de WTF.
Renfield ne vaut que pour le kif de voir Nicolas Cage cabotiner en Dracula, le reste est incroyablement plat au vu du sujet.
Si l’atmosphère prolonge celle du remake de 2013 plutôt que de coller à celle de la trilogie, il n’empêche que le résultat est efficace.
On l’a. La meilleure adaptation existante d’un jeu vidéo. Avec The Last of Us, la malédiction est enfin brisée et de quelle manière !