Critique : Frankenstein (2025)
Malgré des ratés, Guillermo del Toro livre une œuvre sublime et profondément humaine. Probablement, la meilleure adaptation de Frankenstein.
Malgré des ratés, Guillermo del Toro livre une œuvre sublime et profondément humaine. Probablement, la meilleure adaptation de Frankenstein.
J’aurais aimé que ce second coup de fil me glace (hé, hé) le sang. À la place, il murmure quelques bonnes idées avant de raccrocher poliment.
Ian Brennan signe une saison propre sur elle, joliment mise en scène, mais qui n’ose jamais plonger dans la folie de son sujet.
Silent Hill f marque un retour audacieux et inspiré pour la licence. NeoBards réussit en effet à livrer l’un de ses meilleurs épisodes.
Dommage pour les fans venus chercher le Xénomorphe, la créature se fait trop discrète, et l’ambiance penche plus du côté de Blade Runner
Marvel Zombies, c’est un festin. Pas parfait, mais sacrément goûtu. Et je suis déjà prêt à en reprendre une part.
Senua’s Saga : Hellblade II reste une expérience marquante, même si le souffle de surprise du premier épisode s’est un peu estompé.
Avec Évanouis, Zach Cregger confirme qu’il n’était pas l’homme d’un seul coup d’éclat. Après Barbare, il prouve sa maîtrise du mystère.
La série Sandman se termine sans éclat, avec une intrigue trop molle malgré un bon début, mais je retiendrai quand même Délire.
Bring Her Back est un véritable bijou horrifique. Un film qui reste gravé dans ma mémoire avec une Sally Hawkins phénoménale.