Critique : Doom : The Dark Ages
The Dark Ages tente d’innover la formule Doom en y ajoutant le bouclier de Captain America et des phases avec un dragon et un Jaeger.
The Dark Ages tente d’innover la formule Doom en y ajoutant le bouclier de Captain America et des phases avec un dragon et un Jaeger.
28 ans plus tard est un bon ajout à la franchise et réussit à se faire une place dans un registre pourtant déjà bouché.
Une deuxième saison inférieure à la première, souffrant particulièrement de sa structure de premier tiers d’une intrigue complète.
14 ans après le dernier Destination Finale, la franchise revient et livre son meilleur épisode avec des magnifiques adieux de Tony Todd.
Pour moi, il s’agit de la moins bonne saison de Love, Death + Robots. En effet, aucun épisode, sauf Conversion en altitude, n’est étonnant.
Avec Sinners, Ryan Coogler signe sa Nuit en Enfer et livre un formidable film de vampires. Dommage que la première partie soit un peu longue.
D’une nouvelle sérieuse de Stephen King, Osgood Perkins en a fait une comédie horrifique digne des premiers films de Peter Jackson.
Scott Derrickson livre un film mélangeant plein de genres, pour un résultat efficace, même s’il manque de folie.
Après Invisible Man, j’étais curieux de voir ce que Leigh Whannell allait faire avec le loup-garou. Malheureusement, pas une réussite.
Si visuellement, c’est absolument superbe, il est difficile pour moi d’en dire autant du reste, car sans surprise et sans émotions.