Critique : Stranger Things 5 – Volume 1
Stranger Things 5 continue de me faire lever les yeux au ciel aussi fort que Vecna lève des enfants. Mais ça se regarde.
Stranger Things 5 continue de me faire lever les yeux au ciel aussi fort que Vecna lève des enfants. Mais ça se regarde.
Dead Reset, c’est clairement un jeu (« film interactif » serait un terme plus exact) pour ceux qui veulent se marrer avec un bon vieux nanar.
Malgré des ratés, Guillermo del Toro livre une œuvre sublime et profondément humaine. Probablement, la meilleure adaptation de Frankenstein.
J’aurais aimé que ce second coup de fil me glace (hé, hé) le sang. À la place, il murmure quelques bonnes idées avant de raccrocher poliment.
Ian Brennan signe une saison propre sur elle, joliment mise en scène, mais qui n’ose jamais plonger dans la folie de son sujet.
Silent Hill f marque un retour audacieux et inspiré pour la licence. NeoBards réussit en effet à livrer l’un de ses meilleurs épisodes.
Dommage pour les fans venus chercher le Xénomorphe, la créature se fait trop discrète, et l’ambiance penche plus du côté de Blade Runner
Marvel Zombies, c’est un festin. Pas parfait, mais sacrément goûtu. Et je suis déjà prêt à en reprendre une part.
Senua’s Saga : Hellblade II reste une expérience marquante, même si le souffle de surprise du premier épisode s’est un peu estompé.
Avec Évanouis, Zach Cregger confirme qu’il n’était pas l’homme d’un seul coup d’éclat. Après Barbare, il prouve sa maîtrise du mystère.