Critique : Play Dirty
Avec Play Dirty, Shane Black signe un retour en demi-teinte : ça démarre fort, mais ça se perd vite dans une surenchère absurde.
Le genre « drame » explore les émotions humaines et les conflits personnels, offrant des histoires riches en intensité émotionnelle et en quête de vérité.
Avec Play Dirty, Shane Black signe un retour en demi-teinte : ça démarre fort, mais ça se perd vite dans une surenchère absurde.
Silent Hill f marque un retour audacieux et inspiré pour la licence. NeoBards réussit en effet à livrer l’un de ses meilleurs épisodes.
Une bataille après l’autre s’avère être un film soigné, porté par des performances solides, mais qui peine à s’affirmer pleinement.
Downton Abbey III : Le Grand Final réussit à offrir une conclusion émouvante à une saga qui a marqué des générations de téléspectateurs.
Marvel Zombies, c’est un festin. Pas parfait, mais sacrément goûtu. Et je suis déjà prêt à en reprendre une part.
En sortant du film, je me suis dit que Sirāt était peut-être une œuvre radicale, conçue pour hanter. Sauf que moi, il m’a surtout anesthésié.
Senua’s Saga : Hellblade II reste une expérience marquante, même si le souffle de surprise du premier épisode s’est un peu estompé.
Highest 2 Lowest n’est pas un grand Spike Lee, mais ça reste un Spike Lee, et Denzel assure le minimum syndical, mais son aura suffit encore.
La série Sandman se termine sans éclat, avec une intrigue trop molle malgré un bon début, mais je retiendrai quand même Délire.
Karate Kid : Legends, c’est une suite-remake doublée d’un crossover. Tout ce que le cinéma hollywoodien aime, condensé en un seul film.