Critique : Elio
Même si Elio a réussi à m’émouvoir, il m’est pourtant difficile de le considérer comme une réussite, tant il est paresseux.
Le genre « drame » explore les émotions humaines et les conflits personnels, offrant des histoires riches en intensité émotionnelle et en quête de vérité.
Même si Elio a réussi à m’émouvoir, il m’est pourtant difficile de le considérer comme une réussite, tant il est paresseux.
Une histoire touchante, construite de manière originale autour d’un homme nommé Chuck dont la vie n’a pas été épargnée par les drames.
Une saison moins marquante que la précédente, en raison de nombreux épisodes peu convaincants, voire invraisemblables.
Ray Mendoza et Alex Garland se sont associés pour livrer un film sur une bataille ayant eu lieu en 2006 en Irak. Une expérience à part.
La force du long-métrage de Gavin O’Connor repose clairement sur le duo Ben Affleck et Jon Bernthal, digne des meilleurs buddy movies.
Une deuxième saison inférieure à la première, souffrant particulièrement de sa structure de premier tiers d’une intrigue complète.
Avec un Stitch impeccable, le film de Dean Fleischer Camp ajoute une couche supplémentaire en approfondissant le personnage de Nani
The Studio propose de vivre le quotidien d’un studio hollywoodien. C’est fin, génialement interprété, très drôle et subtilement mis en scène.
Après une saison 1 de haute volée, Andor confirme avec une saison 2 magistrale marquée par deux arcs d’un niveau exceptionnel.
Le moins bon des trois, sans être mauvais. Certes, il va plus loin avec des scènes d’action dingues, mais l’histoire perd de son efficacité.