Critique : The Son
Si The Son souffre de la comparaison avec The Father, Florian Zeller arrive tout de même à livrer une histoire intrigante et touchante.
Le genre « drame » explore les émotions humaines et les conflits personnels, offrant des histoires riches en intensité émotionnelle et en quête de vérité.
Si The Son souffre de la comparaison avec The Father, Florian Zeller arrive tout de même à livrer une histoire intrigante et touchante.
Je m’attendais à un film sur le cinéma, mais non. Heureusement, Sam Mendes s’est fait pardonner en m’offrant une histoire d’amour touchante.
Creed III est l’épisode le moins réussi. S’il corrige le problème du 2 avec un ennemi charismatique, il souffre d’un scénario un peu boiteux.
Si j’ai trouvé les parties consacrées au cinéma intéressantes, l’ensemble est parasité par l’insupportable personnage de la mère.
Après une excellente première partie, Tár se dirige vers un thriller se basant sur les non-dits, mais dont l’intérêt est nettement moindre.
Un long-métrage majestueux et dantesque m’ayant laissé avec un fort sentiment de nostalgie pour une époque que je n’ai pourtant pas connu.
Après une scène d’ouverture magistrale, la série The Last of Us confirme. Elle est probablement la meilleure adaptation d’un jeu vidéo.
Un film à voir si vous êtes immunisés aux trous paumés où les péquenots du coin se disputent pour des broutilles.
Rian Johnson offre à Benoit Blanc un nouveau mystère moins prévisible que celui son prédécesseur tout en conservant son charme.
Les créateurs de Dark remettent ça. Avec 1899, ils livrent un nouveau mystère passionnant porté par ses nombreux et fascinants personnages.