Critique : Death Stranding 2 : On the Beach
Si j’avais adoré Death Stranding, je suis plus mitigé sur On the Beach, qui reprend les mêmes défauts… en pire, et le scénario recycle trop.
Le genre « drame » explore les émotions humaines et les conflits personnels, offrant des histoires riches en intensité émotionnelle et en quête de vérité.
Si j’avais adoré Death Stranding, je suis plus mitigé sur On the Beach, qui reprend les mêmes défauts… en pire, et le scénario recycle trop.
Une quatrième saison exceptionnelle pour The Bear, un véritable tsunami émotionnel porté par des personnages toujours aussi attachants.
Créée par les Weitz Bros derrière American Pie, Murderbot : Journal d’un AssaSynth est une série atypique et originale.
Une deuxième partie qui ne fait qu’empirer. Bref, Ironheart a réussi l’exploit d’être la première œuvre du MCU que je n’aime pas.
Dans la lignée de Top Gun : Maverick (dont on retrouve l’équipe), F1 le film semble sortir des années 90 avec des séquences d’action folles.
Une troisième saison avec des jeux efficaces et une maîtrise du rythme et de la tension donnant envie d’enchaîner tous les épisodes.
Difficile de s’emballer pour ces trois premiers épisodes d’Ironheart où Dominique Thorne peine à offrir une performance marquante.
Même si Elio a réussi à m’émouvoir, il m’est pourtant difficile de le considérer comme une réussite, tant il est paresseux.
Une histoire touchante, construite de manière originale autour d’un homme nommé Chuck dont la vie n’a pas été épargnée par les drames.
Une saison moins marquante que la précédente, en raison de nombreux épisodes peu convaincants, voire invraisemblables.