Critique : Bridget Jones : Folle de lui
Une suite tout aussi formidable que Bridget Jones Baby, qui amène Bridget sur de nouvelles voies : celle de la mère célibataire et du deuil.
Le genre « drame » explore les émotions humaines et les conflits personnels, offrant des histoires riches en intensité émotionnelle et en quête de vérité.
Une suite tout aussi formidable que Bridget Jones Baby, qui amène Bridget sur de nouvelles voies : celle de la mère célibataire et du deuil.
Votre fidèle serviteur Spider-Man continue de me ravir avec quatre sympathiques invités cette semaine, sans oublier un combat mémorable.
Cette fournée de trois nouveaux épisodes confirme mon ressenti. Votre fidèle serviteur Spider-Man est clairement une bonne série Spider-Man.
Je n’en attendais rien. Par contre, contrairement à Dewey, je n’ai pas été quand même déçu. Au contraire, j’ai beaucoup aimé.
Une bombe avec un gameplay superbement nerveux et diversifié, le tout avec des décors sublimes, un bestiaire varié et une histoire prenante.
Une deuxième saison réussissant à maintenir l’efficacité de la première en proposant de nouvelles idées permettant d’éviter le déjà-vu.
L’animation du Seigneur des Anneaux : La Guerre des Rohirrim laisse clairement à désirer avec ses saccades, mais le film a des qualités.
Après un sympathique premier épisode qui avait piqué mon intérêt, j’espérais une suite rehaussant le niveau. J’attends toujours.
Une deuxième saison moins efficace, malgré l’arrivée de Frank Grillo et Neal McDonough, en raison de l’absence de dépaysement.
Avec Black Ops 6, j’ai fêté mes retrouvailles avec une saga que j’avais lâchée en 2015. J’ai été agréablement surpris par la campagne.