Critique : Happy Gilmore 2
Une comédie made in Sandler, bien meilleure que les précédentes qu’il a livrées pour Netflix. Du pur Sandman digne de sa belle époque.
Le genre « drame » explore les émotions humaines et les conflits personnels, offrant des histoires riches en intensité émotionnelle et en quête de vérité.
Une comédie made in Sandler, bien meilleure que les précédentes qu’il a livrées pour Netflix. Du pur Sandman digne de sa belle époque.
Une mini-série qui ressemble beaucoup (trop) à What If… ?, avec même un caméo en clin d’œil, pour le meilleur et surtout pour le pire.
Si j’avais adoré Death Stranding, je suis plus mitigé sur On the Beach, qui reprend les mêmes défauts… en pire, et le scénario recycle trop.
Une quatrième saison exceptionnelle pour The Bear, un véritable tsunami émotionnel porté par des personnages toujours aussi attachants.
Créée par les Weitz Bros derrière American Pie, Murderbot : Journal d’un AssaSynth est une série atypique et originale.
Une deuxième partie qui ne fait qu’empirer. Bref, Ironheart a réussi l’exploit d’être la première œuvre du MCU que je n’aime pas.
Dans la lignée de Top Gun : Maverick (dont on retrouve l’équipe), F1 le film semble sortir des années 90 avec des séquences d’action folles.
Une troisième saison avec des jeux efficaces et une maîtrise du rythme et de la tension donnant envie d’enchaîner tous les épisodes.
Difficile de s’emballer pour ces trois premiers épisodes d’Ironheart où Dominique Thorne peine à offrir une performance marquante.
Même si Elio a réussi à m’émouvoir, il m’est pourtant difficile de le considérer comme une réussite, tant il est paresseux.