Critique : Last Vegas
281. Deux cent quatre-vingts et un. Soit l’âge cumulé des quatre acteurs principaux de Last Vegas. De la légende pour faire un Very Bad Trip.
Le genre « comédie » fait rire les spectateurs avec des situations cocasses, des dialogues hilarants et des personnages excentriques.
281. Deux cent quatre-vingts et un. Soit l’âge cumulé des quatre acteurs principaux de Last Vegas. De la légende pour faire un Very Bad Trip.
Typiquement le genre de long-métrage sympa à regarder, histoire de se détendre. N’en attendez pas plus. Une bonne comédie, ni plus, ni moins.
Quand il s’agit de se disputer Reese Witherspoon, entre Chris et Tom, tous les coups sont permis ! Même dans les sacrosaintes couilles !
Les Anglais sont fortiches niveau comédie romantique. Alors quand un de ses plus grands noms en fait un, visionnage obligatoire !
Jim Rash et Nat Faxon, auréolés d’un Oscar pour le scénario de The Descendants avec George Clooney, décident de passer à la réalisation.
Luc Besson et Robert de Niro. Délicieux sachant que le Robert aurait dû être le Léon de Luc avant que le Jean ne prenne le nom.
Pas une comédie romantique, mais le journal d’un accro au porno. Don Jon fait partie de ces films si surprenants donc jubilatoires.
Grabbers, un direct-to-DVD venu d’Irlande nous raconte l’histoire de villageois qui vont repousser des créatures tentaculaires.
On a eu droit à 4 La Guerre des Boutons. L’année dernière, une bobine canadienne en a repris la recette, mais cette fois-ci, c’est la guerre !
Chucky a toujours exercé une fascination chez moi. À cause de lui, je crains toutes les poupées que je rencontre. Fascination encore vivace ?