Critique : À la poursuite de demain
À la poursuite de demain est là pour proposer un blockbuster qui n’est pas une suite, ni un remake et encore moins une adaptation. Je signe.
À la poursuite de demain est là pour proposer un blockbuster qui n’est pas une suite, ni un remake et encore moins une adaptation. Je signe.
Je suis toujours à la recherche d’Epice qui s’est fait emporter durant la course de Mad Max, mais, au moins, j’ai récupéré sa critique.
Après une longue attente (longue, surtout depuis la bande-annonce), Mad Max : Fury Road débarque enfin. Est-il le chef d’œuvre promis ?
Après la grosse claque de The New Order, j’étais vraiment excité à l’idée de pénétrer dans le château Wolfenstein. Même formule gagnante ?
Le 1er Avengers représentait un fantasme, cette suite a la lourde tâche de faire aussi bien, voire même mieux. Alors mission accomplie ?
Wallace et Gromit… Tout un pan de ma jeunesse. Alors évidemment, j’avais très envie de signer pour Shaun le Mouton et j’ai bien fait.
La preuve absolue que le jeu vidéo est aussi un art à part entière. Indispensable, donc. Une expérience à vivre et ouverte à tous.
Pas terrible du tout, même moins bon que le premier. Encore faudrait-il que j’en aie des souvenirs vivaces.
Avant Les Agents du SHIELD. Avant Avengers. Avant Captain America : Le Soldat de l’Hiver. Il y avait Agent Carter.
Au lieu de faire la suite de son X-Men, Vaughn préfère installer une nouvelle franchise adaptée d’un comic de Mark Millar. Le bon pari ?