Critique : Chair de poule
À l’évocation de Chair de poule, c’est mon enfance qui remonte, la nostalgie qui me prend dans ses bras. Face au film, je suis donc partagé.
À l’évocation de Chair de poule, c’est mon enfance qui remonte, la nostalgie qui me prend dans ses bras. Face au film, je suis donc partagé.
Tout a commencé le 30 octobre 2012. Ce jour-là, Disney avait officialisé le rachat de LucasFilm et annoncé Star Wars: Le Réveil de la Force.
Si Ron Howard a offert des excellents films, il s’est parfois raté (on en parle du Grinch ?). Quel verdict pour Au Cœur de l’Océan ?
En cette période, aller voir un Pixar est une perspective qui m’est agréable. Pourtant, rien ne m’excitait vraiment dans ce film.
Même si j’avais adoré Le Hobbit: La Bataille des Cinq Armées, il avait des défauts. La version longue devrait les corriger. Vérifions.
Rien ne vous a préparé à ce dénouement. Woh, rien que ça. Ça en jette. Du coup, faut croire que j’étais suffisamment préparé.
Malgré les avertissements de Marvelll, Epice a succombé à Spectre. Il revient de cette aventure meurtri et avec une critique épicée.
Spectre vient juste de sortir et comptabilise déjà 900 000 entrées. S’agit-il du meilleur James Bond ou n’est-ce que l’effet Skyfall ?
Cette fois-ci, on prend le chemin inverse du Hook avec Robin Williams. Au lieu de découvrir un Peter Pan cougar, on découvre Peter biberonné.
Alors que McFly et Doc Brown débarquent pour constater l’absence de voitures volantes, Bob Zemeckis livre sa nouvelle réalisation.